Je pourrais bien brûler les preuves
Trier les pages de mon passé
Prendre un bassin ou même un fleuve
Pour abonder le peu que j'ai
Je pourrais bien brûler les pistes
Changer cent mille fois de visage
Rayer mon nom de toutes les listes
Et m'effacer du paysage
Où vais-je?
Et à présent
Que n'ai-je?
Ma mémoire s' enivre
Ma mémoire s' enivre
Tu cherches tellement à me suivre
A travers le vent
Je pourrais bien changer de sigle
Et chaque nuit dans les abbesses
Me rendre floue ou invisible
Etre inconnue à cette adresse
Je pourrais même me compromettre
Ne plus me souvenir de rien
Et ne plus jamais reconnaître
Ta voix que je connais si bien
Où vais-je?
Et à présent
Que n'ai-je?
Ma mémoire s' enivre
Ma mémoire s' enivre
Tu cherches tellement à me suivre
A travers le vent
Je pourrais bien brûler les pistes
Changer cent mille fois de visage
Rayer mon nom de toutes les listes
Et m'effacer du paysage
eheh! une chanson que j'aime beaucoup et qui a d'ailleurs donné son titre à mon blog.
RépondreSupprimer(Au passage, et c'est justement ça que j'ai repris comme titre, il me semble que ça n'est pas "pour abandonner le peu que j'ai" qu'elle dit mais "pour abonder le peu que j'ai")
En effet je vois maintenant la référence, je vais corriger les paroles...
RépondreSupprimerElle est vraiment manifique cette canson...j'y ai pensé en écoutant Abd al Malik dans sa chanson "M' effacer" et où il y a un extrait de "Que n'ai-je?"
RépondreSupprimereheh! nous avons fait le même cheminement, d'Abd Al Malik à Keren Ann !
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