lundi 14 décembre 2015

Vivre à moitié

Ne fréquente pas ceux qui sont à moitié amoureux,
Ne sois pas l’ami de ceux qui sont à moitié des amis..
Ne lis pas ceux qui sont à moitié inspirés.
Ne vis pas la vie à moitié
Ne meurs pas à moitié
Ne choisis pas une moitié de solution
Ne t’arrête pas au milieu de la vérité
Ne rêve pas à moitié
Ne t’attache pas à la moitié d’un espoir
Si tu te tais, garde le silence jusqu’à la fin, et si tu t’exprimes, exprime -toi jusqu’au bout aussi.
Ne choisis pas le silence pour parler, ni la parole pour être silencieux …
Si tu es satisfait, exprime pleinement ta satisfaction et ne feins pas d’être à moitié satisfait …
et si tu refuses, exprime pleinement ton refus, car refuser à moitié c’est accepter..
Vivre à moitié, c’est vivre une vie que tu n’as pas vécue…
Parler à moitié, c’est ne pas dire tout ce que tu voudrais exprimer
sourire à moitié, c’est ajourner ton sourire,
aimer à moitié, c’est ne pas atteindre ton amour
être ami à moitié c’est ne pas connaître l’amitié
Vivre à moitié, c’est ce qui te rend étranger à ceux qui te sont les plus proches, et les rend étrangers à toi….
La moitié des choses, c’est aboutir et ne pas aboutir, travailler et ne pas travailler, c’est être présent et …absent
Quand tu fais les choses à moitié, c’est toi, quand tu n’es pas toi-même, car tu n’as pas su qui tu étais
C’est ne pas savoir qui tu es…
Celui que tu aimes n’est pas ton autre moitié…c’est toi même, à un autre endroit, au même moment.
Boire à moitié n’apaisera pas ta soif, manger à moitié ne rassasiera pas ta faim…
Un chemin parcouru à moitié ne te mènera nulle part
et une idée exprimée à moitié ne donnera aucun résultat …
Vivre à moitié, c’est être dans l’incapacité et tu n’es point incapable…
Car tu n’es pas la moitié d’un être humain
Tu es un être humain…
Tu as été créé pour vivre pleinement la vie, pas pour la vivre à moitié
(Traduction: Saadane Benbabaali)



jeudi 29 octobre 2015

Un nouveau membre de la famille

 « Les chiens ne mentent jamais quand ils parlent d’amour. »
Jeffrey Moussaieff Masson (essayiste américain)

Une jolie citation pour présenter Kiara ma petite chienne de 5 mois, qui fait partie de la famille depuis une dizaine de jours. Ça change des chats, c'est plus expressif, joyeux...Et puis on peut faire de belles balades ensemble!
Elle est pas chou?!!!

mardi 13 janvier 2015

Rien ne s'oppose à la nuit


Le bouquin que je lis en ce moment.L' écrivaine est allée chercher dans l'enfance de sa mère pour essayer de comprendre sa bipolarité. Elle nous raconte comment elle a grandi aux côtés de cette mère malade...Etonnamment peu de ressentiment, beaucoup de tendresse et de compréhension.

dimanche 2 novembre 2014

Le rôle dans lequel je m'enferme : Le médiateur . A méditer pour modifier mon comportement

Votre rôle : Le médiateur - Psychologies.com:



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Les manifestations : son désir est d’échapper aux conflits, de mille et  une façons. En négociant, en marchandant, en prenant sur soi, en pratiquant la politique de l’autruche. Tout sauf la violence de l’affrontement. Le médiateur est très empathique, généreux et adaptable. Ces qualités font de lui l’ami, le conjoint, le collègue idéal des temps difficiles. Compréhensif et à l’écoute de tous, il n’hésite pas à se mettre entre parenthèses pour dénouer ou éviter une crise. Sa popularité, réelle, et son désir sincère de rétablir l’harmonie attirent autant les personnes bien intentionnées que celles qui se servent de sa bonne volonté. Le bénéfice est évident : être aimé, avoir de l’attention et des jugements positifs de son entourage. Mais la paix à tout prix est très coûteuse, physiquement et émotionnellement. Passer derrière les autres est source de frustration et finit par entamer l’estime de soi.

À la source : une grande fragilité narcissique peut expliquer cette propension au sacrifice. Amour très conditionnel des parents, famille où les conflits débouchaient sur de la violence, sentiment d’une dette à payer pour avoir le droit d’exister (mort d’un proche…), mésentente conjugale où l’enfant devient le trait d’union entre ses parents, etc. Dans tous les cas, le médiateur a eu très tôt la certitude qu’il devait beaucoup donner pour être aimé.

Comment se libérer : en revenant à soi, à son désir. Souvent par un travail en thérapie ou en analyse. Au quotidien, oser dire non à son entourage peut aider à apprivoiser la peur du conflit. Enfin, apprendre à recevoir peut être bienfaisant pour ceux qui n’existent qu’en donnant.